19 novembre 2015

Ce matin, en descendant du train en gare de Luxembourg, des policiers nous observaient du quai, gilets fluos et mitraillettes en main.  Ce sont ces conditions exceptionelles qui le demandent ... Je n'ai pu m'empêcher de pleurer, alors que mon baladeur me mettait -comme par hasard-  "mental " de Grand Corps Malade sur les oreilles.  Cette chanson, chacune des paroles, je les applique quotidiennement ... Bizarrement, ce matin, elles avaient une toute autre résonnance en moi ...

Beya a fait preuve de beaucoup de patience en brodant une à une les étapes : ET, tout comme son joyeux petit personnage, elle a patiemment collé un à un les éléments indispensables pour passer une hibernation tranquille ... Ravissant !!!