Je ne peux encore assurer que notre nouveau chez-nous soit aussi "paisible" qu'espéré pour l'instant...

Pourtant, après l'avertissement discret du propriétaire, les jeunes d'en dessous semblent s'être apaisés : les batailles de polochons à des heures indues ont cessé, tout comme les débats animés qui duraient jusqu'au petit matin... pour l'instant !

Cependant, une fumée persistante continue de planer — le haschich circule toujours (je pourrais même révéler la plaque d'immatriculation de leur mystérieux fournisseur, si cela vous intrigue).

Cette atmosphère trouble souvent nos réveils de migraines sourdes...

En échangeant avec d'autres voisins, il apparaît que nous ne sommes pas seuls à subir ces nuisances.

Et puisque notre propriétaire possède également l'immeuble voisin, si ces plaintes lui parviennent, il comprendra bientôt que je ne suis pas la seule à être dérangée dans ce quartier presque silencieux.

Ainsi, en esquissant doucement ces étapes, je me surprends à rêver que ce nouveau foyer finira par devenir enfin "doux"...